Avec le temps, les contours du visage deviennent plus flous, moins réguliers et laissent transparaître les premiers signes de relâchement cutané.
C’est à ce moment là que les patients cherchent une façon de « retendre » leur visage sans pour autant passer par la case chirurgicale.
Notre rôle, en tant que médecin esthétique, est de conseiller celles et ceux qui nous consultent, dès l’apparition de ces signes de relâchement, et même avant, à titre préventif.
C’est en partie une des raisons pour laquelle le « jawline contouring » s’est considérablement développé ces cinq dernières années chez les plus jeunes.
Différentes techniques existent pour améliorer l’ovale du visage :
Les actes « non invasifs » via des techniques dites de chauffe profonde du tissu cutané : radiofréquence et ultrasons focalisés de haute intensité. Ces actes sont intéressants à titre essentiellement préventif, surtout sur les peaux épaisses car ils favorisent la synthèse de collagène. Ils nécessitent néanmoins de nombreuses séances assez rapprochées.
Les injections de produits de comblement tels que l’acide hyaluronique et/ou l’hydroxyapatite de calcium (Radiesse) permettant de restaurer les volumes perdus aux niveaux de zones du visage responsables de l’apparition des bajoues (tempes, pommettes, vallées des larmes, angles mandibulaires, plis et creux d’amertume).
La pose de fils tenseurs (acte non pratiqué au cabinet) résorbables ou non résorbables lorsque les injections ne sont pas indiquées et que la chirurgie n’est pas envisagée par le patient.
Le lifting complet ou mini lifting (acte non pratiqué au cabinet) permettant de tracter l’ovale du visage et le cou par chirurgie.
Ce n’est qu’à la suite d’un examen clinique complet que le docteur James Schinazi pourra poser les bonnes indications médicales ou orienter vers des indications chirurgicales si nécessaire.